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 Ava - “They sicken of the calm who know the storm.”

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Ava Lovelace

Ava Lovelace
Staff ≈ Merlin's beard !


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Localisation : Londres
Messages : 40
Date d'inscription : 23/11/2016

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MessageSujet: Ava - “They sicken of the calm who know the storm.”   Ava - “They sicken of the calm who know the storm.” EmptyDim 4 Déc 2016 - 17:33

Ava Lovelace
"Four be the things I am wiser to know:
Idleness, sorrow, a friend, and a foe."

Bonjour, je suis Ava Lovelace née Warszawski , j’ai 32 ans et je suis née moldue (voir races/sangs). Je suis originaire d'Allemagne ; mes études à Durmstrang puis Poudlard à serpentard m’ont amené(e) à devenir un civile en tant que journaliste. J’ai pour ambition de regarder le monde brûler/.

Caractère
♦ Caractère & Ambitions :
Ava sème la haine, des petites graines de haines, de colères, de rancœur, dans les articles qu'elle publie, dans les discours qu'elle écrit. Elle n'a pas d'ambitions particulières, elle a une position sociale, un bon travail, les relations qu'il faut. Elle n'a plus sa fille et c'est tout son univers qui n'a plus de sens. Toute la société qui la rend malade, les avancées moldues dans la destruction dans le collimateur. Les moldus même sans leurs inventions. Elle a renié sa famille, c'est ce que devrait faire tous les sangs-mêlés, embrasser leur nouvelle identités, oublier l'ancienne, la médiocre, la dangereuse.

♦ Connaissance & capacités :
Sa plume est dévastatrice, ses connaissances hautaines et ses capacités à la mesure de l'influence qu'elle peut exercer consciemment ou non sur ceux qui la lisent. C'est une femme redoutable, à l'intelligence vive, à la baguette précise. Excellente duelliste, sorcière émérite de sa communauté. Celle restreinte qu'elle s'est choisie.

Magie
♦ Patronus :
Un balbuzard. C'est un curieux oiseau qu'elle a découvert lors de ses années à Durmstrang, quand elle ne supportait pas la pression, elle se rendait à l'étang et contemplait des heures durant les rapaces plonger pour capturer leurs proies. Ils étaient forts et planaient au dessus de tout, des problèmes et des devoirs. C'est peut-être la seule chose qui lui manque de durmstrang, ces étranges oiseaux patibulaires.

♦ Particularité :
Occlumancienne, elle a appris très tôt à bloquer son esprit contre toute tentative d'infiltration. C'était une question de survie à Durmstrang et cela lui a probablement évité la prison lors du meurtre de son mari. Elle est excellente en ce domaine et son mur mental n'a jusque là jamais été percé, y compris pendant l'enquête.

♦ Affinités à la magie :
Elle n'a jamais encore basculé dans la magie noire, bien qu'elle soit de plus en plus tentée et en dénie à ce sujet. C'est une grande sorcière, elle a toujours été très habile dans le lancé de sortilèges c'est ce qui fait d'elle une grande duelliste. Préparer des potions a toujours eu un effet relaxant sur elle, elle aime le soin qu'il faut y apporter, la patience et la précision. Elle n'a jamais bien compris l'utilité de l'arithmancie et cela reste une de ses bêtes noires et source d'une certaine frustration car c'est la seule matière qui lui ait résisté. Ca et peut être le vol qu'elle n'affectionne et donc ne pratique pas plus que ça.  

Possession
♦ Baguette :
Une baguette de vigne, plutôt rare dans la confection des baguettes, il révèle une personnalité complexe, plus profonde qu'il n'y parait et indique un sens des idées peu commun. Elle mesure 18 cm et est tout à fait inflexible. Pour cœur elle a une écaille de Sharak ce qui rend la baguette assez rancunière

♦ Objets magiques :
Un miroir double sens qui est désormais au fond d'un tiroir. Et une plume à papote à qui elle dicte ses écrits.

♦ Créature magiques :
Elle a un elfe de maison nommé Peter, une créature aigrie qui porte le secret de la mort de son premier maître.

♦ Autre :
Elle possède un balai volant, mais elle ne l'utilise que très peu.

Avatar : Blbl. Pseudo/Prénom : Blbl. Âge : Blbl. D'où tu viens ? Blbl. Comment as-tu découvert le forum ? Blbl. Comment tu le trouves ? Blbl. Est-ce que tu baises ? Blbl. Qui est ton admin préféré ? Probablement celle qui a fait le codage.

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Ava Lovelace

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Ava - “They sicken of the calm who know the storm.” Empty
MessageSujet: Re: Ava - “They sicken of the calm who know the storm.”   Ava - “They sicken of the calm who know the storm.” EmptyDim 4 Déc 2016 - 17:39

Histoire
"Four be the things I'd been better without:
Love, curiosity, freckles, and doubt."

1898 

Née à Berlin, par une radieuse journée, Ava était un beau bébé. Elle fut choyée, toute son enfance on lui répéta combien elle était jolie, combien elle faisait la fierté de sa famille, de son école. Ava n’y accordait pas d’importance. Pas trop. Il fallait se montrer humble et montrer l’exemple pour Eidel. Ava adorait son rôle de grande sœur. Elle chérissait Eidel, elle la couvait du regard pendant les jeux, elle l’aidait quand dans le travail.

1909

C’est la première fois qu’elle s’éloigne de sa famille. Elle n’a jamais rien demandé, n’avait pas d’ambitions particulière. Parfois au détour d’un livre elle se disait qu’elle aimerait bien écrire, mais ça n’était pas sérieux. Elle n’en avait soufflé mot à personne et voilà qu’elle était dans ce château austère, une robe différente des autres. Les grands la jauge, la juge, elle sert ses livres de cours contre elle et essaie de se faire petite. Elle ne comprends pas encore les enjeux. Elle comprendra vite. C’est tout un nouveau vocabulaire qu’elle doit apprendre, intégrer, toute une situation qu’elle doit appréhender. Du haut de ses 11 ans elle sait que son histoire ne sera pas un conte et qu’elle se rapproche plus des pathétiques héroïnes gothiques incapables de se défendre. Elle s’est toujours demandée pourquoi elle ne quittait pas le château, fuyait les fantômes ou autre créature qui leur voulaient du mal. Peut-être qu’elle les a jugé trop vite, peut-être que comme elle, elles avaient un ego.

1912

Bien droite dans sa robe grise, sang de bourbe au milieu de la marée des sangs purs. Elle est dans les dix meilleurs élèves de l’école. Elle a travaillé dix fois plus, mais même parmi les pires de ses professeurs elle commence à susciter l’intérêt, le même que suscite un animal exotique ou un chien savant. Elle ne se décourage pas, elle sait qu’elle n’aura jamais la valeur d’un sang-pur, elle essaie de se mettre à leur niveau. Son ego meurtri par les humiliations se regonfle un peu. Pour survivre elle a intégré leurs codes, elle baisse les yeux, elle connaît sa place. Aujourd’hui, ses efforts ont payé. Il y a le ministre à côté d’elle, qui la montre comme un exemple d’intégration, elle sait que c’est faux mais elle y croit soudain. Elle a quelques amis chez les sang-purs et pendant le bal, Snorri l’invite à danser. Les hormones travaillent aussi les sang-purs et les laides robes grisâtre des sangs-mêlés ne camoufle pas les rondeurs d’Ava, qui lui vaudront rapidement moqueries, complexes et d’autres raisons de se sentir diminuer face à l’anguleuse aristocratie sorcière.

1914

Ava est inquiète, il y a la guerre, on dit dans la presse sorcière que les moldus inventent des armes terribles. Plus seulement des balles, mais des armes chimiques, que leur science est néfaste. Ava pense la même chose, cette guerre entraîne son père loin d’elle. Cette guerre qui empuantie l’Europe et la traîne jusqu’à son extrême ouest : l’angleterre. Ce n’est pas que cette guerre, celle qui couve chez les sorciers aussi. Ava respire un mieux à Poudlard, pas de différence entre les élèves, juste des maisons, elle est envoyée chez les serpentards et elle retrouve des profils qu’elle connaît. Elle sait comment se comporter avec eux. Beaucoup semblent s’intéresser à Durmstrang, une école d’élite pour beaucoup à cette table, alors elle se sent fière et se la représente comme telle. Ce n’était pas si terrible et puis c’était formateur. Elle est parfaitement à l’aise à serpentard, la pression est moins forte.
Elle commence à fréquenter Hadrien Lovelace, un sang-pur depuis quelques générations. Il est beau, riche et Ava pour oublier le reste, les courriers mortifères, les nouvelles terribles, se donne dans cette relation.

1917

Ava a obtenu un poste à la Gazette, ça ennui Hadrien, dans sa famille aucune femme ne travaille. Hadrien veut se marier et des enfants et vite. Il perd patience. Ava ne se voit pas si vite se marier. Sa
belle-mère lui dit qu’elle s’est mariée si tôt sortie de Poudlard et qu’elle regrette un peu. Hadrien a une sœur de quelques années plus âgées et elle attend son premier enfant. Une pimbêche, dire qu’Ava et elle ne s’apprécient pas est un euphémisme. Pour Hadrien il n’y a pas femme plus accomplie que sa sœur et Ava n’a aucune idée de ce que cela peut bien signifier.
Dans leur grand appartement londonien, payé par la famille Lovelace, Ava n’aime pas trop ça mais Hadrien lui assure que ce n’est pas un problème. Ainsi ils ont un endroit convenable pour accueillir la famille et les amis. Ceux d’Hadrien surtout. Ava est de plus en plus isolée mais elle ne le réalise pas.
C’est un soir ou ils donnaient une réception qu’Eidel déboule dans sa vie. Elle a lu les lettres de sa mère, elle n’ignore pas que tout va mal. La guerre.  La Guerre démarrée par les moldus et qui entraînent les sorciers dans leur sillage. Le premier ministre a raison quand il dit de ne pas s’en mêler. Cette guerre qui fait venir sa petite sœur bouleversée. Ava a proposé à sa mère de venir la rejoindre ici, mais sa mère est plus encore sa grand-mère, sont têtues. Elle sait qu’elle passe pour l’égoïste mais elle ne veut pas retourner dans la vieille maison, abandonner ce qu’elle a commencé à construire. Elle voit les larmes, elle secoue la tête. Non. Si elles préfèrent rester là-bas ce n’est pas son cas. Mais elle est inquiète pour son père et quand elle referme la porte, elle n’a plus le coeur à la soirée.

1921

C’est aujourd’hui qu’elle se marie. Elle fait le bonheur de ses parents, Ava rayonne. Elle n’était pas certaine quand elle a accepté. Hadrien a ses humeurs, mais maintenant ça devrait aller mieux. Eidel vient la voir, c’est la seule qui ne se réjouit pas et ça blesse Ava, ça l’énerve aussi. Pourquoi est ce qu’elle ne peut pas être heureuse pour elle ?
Elle n’a pas le temps de se mettre en colère, son père vient la chercher. Elle est soulagée qu’il soit là, sincèrement heureuse que cette foutue guerre ne le lui ai pas enlevé. Au bout de l’allée Hadrien est splendide, très sérieux mais son regard scintille. Ava y lit l’amour, Ava y lit ce qu’elle a envie d’y lire.

1922

C’est la première fois qu’il la frappe, ça ne sera pas la dernière. Elle se dit qu’elle l’a mérité, elle n’aurait pas dû lui mentir. Elle se regarde longuement dans le miroir, essuie ses larmes et rectifie son maquillage. C’était un tout petit mensonge, elle ne voulait pas arrêter de travailler, alors elle s’était arrangée pour travailler à la maison. Hadrien était tombé sur l’article en préparation, encore un papier sur les avancées moldus. Il avait perdu patience, du revers de la main il l’avait frappé. L’avait traité d’idiote et d’égoïste. Elle porte un enfant, son enfant il est temps d’arrêter ses conneries de femme moderne, il est temps de comprendre qu’elle est dans une bonne famille. Les femmes sont mères, c’est leur travail le plus important. Est ce qu’elle ne le réalise pas. Est ce qu’elle veut le malheur de leur progéniture ?

Ava ne travaille plus.  Elle tient Arabella dans ses bras, elle est aussi blonde que son père, mais le reste elle le tient d’elle. Elle est épuisée, elle dort dans la chambre de sa fille, soulagée de ne plus avoir à dormir avec son mari, Eidel avait raison. Elle n’arrive pas à le quitter, elle a peur de tout perdre. Sa fille y compris. Elle n’a plus rien, elle comprends trop tard, qu’il l’a sciemment isolé. Elle a trop de fierté pour demander de l’aide. Ava ne pleure pas, elle caresse la délicate tête de sa fille. Il ne la touchera pas, elle commence à le haïr, mais elle a trop peur. Pour le moment.

1924

Sa respiration est hachée devant le miroir à double sens. Ava vient de demander à Eidel de venir, calmement, malgré le sang sur son visage, malgré les borborygmes derrière elle. Elle s’assoit le thé est encore chaud et Hadrien n’a pas touché sa tasse. Elle en revanche tient encore son morceau de tasse brisée. Elle ne l’a pas réalisé, pas plus qu’elle n’a réalisé la profonde entaille dans sa paume. Le morceau de porcelaine est couvert de sang et puis soudain le silence. Ava baisse le regard vers son mari, il est finalement mort. Il en a mis du temps. Elle évolue comme dans un rêve morbide, comme si rien de tout ça n’était réel.
Il l’a frappé une fois de trop. Pour une raison ou une autre. C’était la fois de trop, elle est tombée renversant sa tasse de thé qui s’est brisée sous le choc. Ce service c’était un cadeau de sa bobe, elle attrapé le plus grand des éclats et quand il s’est penché pour lui saisir les cheveux, elle s’est jetée sur lui, son bras a décrit un arc de cercle et la porcelaine à taillader la chaire fine de sa gorge. Le sang l’a aspergé d’abord, puis a coulé, il est tombée, ses mains essayant pathétiquement de retenir le flot.
Ava s’est redressée, lissée sa tenue et a remis une mèche dans sa coiffure. Il fallait appeler Eidel. c’était une certitude. Appeler Eidel. Sa petite sœur avait l’air inquiète dans le miroir. Il faudrait quelques heures à Ava pour réaliser, aucune culpabilité ne vint, par contre, jamais l’assaillir.

-

L’enquête a duré des mois. Grâce à Eidel, les stigmates du meurtres avaient été effacés. Et bien que cet auror se soit particulièrement acharné contre son cas, Ava n’a jamais été condamné pas plus que les odieux voleurs qui étaient ingénieusement parvenus à déjouer le système de sécurité de la cheminée. Fort heureusement une vague de vol avait lieu et lui avait servis de pretexte. Elle avait eu beaucoup de chance. Tout comme Arabella qui ne s’était pas réveillée. Quand à sa belle-famille, à part sa belle-sœur, personne n’a songé à la blâmer. C’était un mystère pour Ava que Septimus et Hosta Lovelace ait donné naissance à d’aussi odieux enfants, bien que dans ce cas précis, sa belle-sœur était très justement odieuse.
Elle joua, avec un certain succès la veuve éplorée quelques temps et son retour au travail fut pris pour un moyen de se concentrer sur autre chose. Cette affaire lui avait conféré une certaine popularité cynique dont le journal avait bien besoin. Elle reprit son poste aux affaires moldues  et parfois devenait éditorialiste, sa plume acérée était appréciée.

1928

Ava est resplendissante, dans sa grande maison elle invite souvent des tas d’amis, des collègues, des artistes, la petite élite culturelle qui fait la pluie et le beau temps. Arabella est une fillette adorable, elle ressemble de plus en plus à Hadrien, elle a ses traits fins et aristocrates qui pointe derrière les rondeurs enfantines.
Elle accompagne sa belle-mère aux événements que celle-ci organise depuis que Septimus est mort d’une scrofulite qu’il a trop tardé à faire soigner. Elle se rend aussi régulièrement à Berlin dont elle a appris à aimer l’effervescence et puis ainsi Arabella peut voir ses grands-parents et sa tante. Ava n’a jamais été plus heureuse, plus sereine. Elle a même un amant, charmant, impitoyable et stupide et ce sont les qualités premières qu'elle cherche chez un homme.
Jusqu’à mars 1928, tout cela était vrai. Elle revenait d’une exposition de Kirchner, il y avait chez les expressionnistes beaucoup de sorciers et Ava préparait un article sur cette étrange cohabitation artistique. Elle n’était pas rentrée tard. Mais trop tard.

Arabella sa petite Arabella dans ce trop grand lit. Pâle, trop pâle. Elle a froidement renvoyé sa mère et sa sœur. Elle ne veut plus leur parler. Plus jamais. Elle ne souffre même plus de les voir. C’est de leur faute. Elle est en vie, mais elle ne vit plus. Les médecins ne savent pas. Ce ne sont sont que des médecins moldus. A Sainte Mangouste ils trouveront la solution. Ils réveilleront son petit ange.

1930


Ava Lovelace est une pamphlétaire reconnue, elle écrit pour les politiciens. Elle considère la science comme une aberration, une monstruosité que les moldus utilisent pour sortir de leurs misérables conditions. Ils ne font que blesser la planète et leurs semblables. Elle n’a pas revu sa famille, qu’ils aillent au diable, pas sciemment en tout cas. Il lui arrive de tomber sur Eidel à Sainte Magouste. Elle l’ignore pour ne pas crier, pour ne pas se laisser aller au scandale. Sa soeur a toujours été trop amoureuse de son héritage moldue, de ses stupides traditions familiales. Elle ne lui a pourtant pas interdit de voir Arabella, dans la jolie chambre de Sainte-Mangouste. Arabella aimait sa tante, il serait injuste de l’en priver.
Arabella vient lui lire des histoires quelques soirs dans la semaine, avant de rentrer dans sa trop grande maison, trop vide. Elle continue d’inviter, elle fait semblant d’aller bien et tout le monde prétend que c’est la vérité. Le comité est réduit, plus aucun amoureux des moldus, les rires insouciants ont cessé d’y raisonner depuis longtemps, les conversations se font lourdes et politiques. Elle cherche un sens à sa rage et puis elle est fatiguée du calme, elle recherche la tempête. Celle qui ne tardera plus à s’abattre maintenant. Le monde est aussi plein de ressentiment qu’elle.

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Eidel Warszawski

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MessageSujet: Re: Ava - “They sicken of the calm who know the storm.”   Ava - “They sicken of the calm who know the storm.” EmptyLun 20 Fév 2017 - 17:15

Bienvenue sur The Greater Good
Vous voilà officiellement sorcier


Félicitation à toi, Ava Lovelace. Tu fais officiellement partie d'un civil (what ? Ca veut rien dire ?).


JE SUIS FIÈRE DE TOI, BB.

Avant de pouvoir totalement rp parmi nous, n'oublie surtout pas d'aller faire recenser ton avatar, ton métier, ton patronus si tu le maîtrises et ta capacité spéciale si tu en as une. Après cela, tu vas enfin pouvoir commencer à jouer !
Nous t'invitons chaudement à aller poster ta fiche de lien ainsi que ta fiche de rp. Tu peux aussi te préparer un sujet au Bureau de Poste des Hiboux si tu veux que les autres t'envoient de petites lettres. Si tu te poses encore des questions sur l'univers, n'hésite pas à jeter un nouveau coup d’œil aux Annexes ou même à contacter un membre du staff si la réponse à tes questions ne s'y trouve pas.

Une nouvelle fois bienvenue à toi,

Le Staff

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MessageSujet: Re: Ava - “They sicken of the calm who know the storm.”   Ava - “They sicken of the calm who know the storm.” Empty

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